Gérald Vernez est le fondateur, président et directeur de digiVolution. Il a étudié la géologie, la météorologie et la politique de sécurité et il est membre de l’Académie suisse des sciences techniques SATW. Tout d’abord ingénieur et gestionnaire de risques dans l’industrie, il a rejoint le DDPS en 1996 où il a occupé de nombreuses fonctions jusqu’en 2021. Les principales ont été la préparation de l’état-major de crise pour le passage à l’an 2000 , le développement du domaine des opérations d’information, chef d’état-major de l’état-major de conduite de l’armée, directeur adjoint pour la stratégie nationale pour la protection de la Suisse contre les cyberrisques, délégué du chef de l’armée pour la cyberdéfense puis délégué du DDPS pour la cyberdéfense. Dans ces fonctions, il a eu la charge du développement et de la réalisation des stratégies de l’armée jusqu’en 2016 puis du DDPS jusqu’en 2021. Officier de milice, Gérald Vernez est colonel d’état-major général ; il est membre de l’état-major de l’instruction opérative, a commandé un bataillon d’infanterie de montagne et été chef d’état-major d’une brigade d’infanterie de montagne.”

Jean-Marie Leclerc est membre du conseil et de la direction de la fondation digiVolution. Il est diplômé de l’Université de Technologie de Compiègne PARIS. Il a tout d’abord oeuvré en tant qu’informaticien dans une équipe scientifique et technique, puis comme responsable de grands projets dans une compagnie d’assurance. Il a ensuite assumé la responsabilité de centres informatiques avec pour mission principale la définition des stratégies notamment dans les domaines de la santé, de la sécurité, et de l’administration. De 2000 à 2011, il a été directeur général du CTI (Centre des technologies de l’information du canton de Genève). Co-fondateur de deux entreprises toujours en activité, il a réalisé de nombreuses expertises dans divers domaines tels que la santé ou l’administration, en Suisse et à l’étranger (Luxembourg, Roumanie, Hongrie, Mali, Lesotho). Actuellement expert indépendant, il travaille sur les variables de rupture, la création de nouveaux modèles de sociétés et de gouvernance avec une approche systémique, cybernétique et métaphysique.

Reiny Schnyder, conseiller en communication, est membre du conseil et de la direction de la fondation digiVolution. Après quelques semestres d’études à l’université de Berne (philologie allemande, histoire de l’art), il a suivi à partir de 1980 un stage de deux ans pour devenir rédacteur à l’Agence télégraphique suisse (ats). En tant que rédacteur du jour à la rédaction nationale, il s’est notamment occupé de sujets de politique nationale (Conseil fédéral, administration fédérale, Parlement) depuis le Palais fédéral jusqu’en 1995. En tant que conseiller en communication indépendant, il a été, outre des mandats dans la politique et le tourisme, entre autres membre du comité d’organisation de l’Open Air de sa commune natale de Gampel (VS). De 2000 à 2003, il a été responsable de la communication du sponsoring du hockey sur glace et du projet EXPO.02 “Onoma” à Yverdon, afin de soutenir le changement de marque de la Poste suisse. De nouveau en tant que conseiller indépendant, il s’est concentré sur la gestion et la communication de conférences, notamment lors des Swiss Cyber Security Days, du SIPUGday et du Digital Economic Forum.

André Duvillard est président du “Beirat” digiVolution et membre de la direction de la fondation. Jusqu’à fin juillet 2022, il a assuré avec succès pendant dix ans la médiation entre la Confédération et les cantons en tant que délégué du Réseau national de sécurité. Dans ce cadre, il a entre autres faciliter l’intégration des cantons dans l’élaboration et la mise en œuvre des trois stratégies nationales de de protection de la Suisse contre les cyber risques (SNPC). Le Réseau national de sécurité a ainsi coordonné divers projets dans le domaine de la gestion de crise, de l’organisation cyber dans les cantons ou encore de la poursuite pénale. André Duvillard a terminé ses études de droit à l’Université de Neuchâtel en 1987. Il a ensuite travaillé comme délégué du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) en Irak, en Israël et au Liban. De 1991 à 1997, il a travaillé aux Services du Parlement en tant que secrétaire des Commissions de politique de sécurité (CPS). Entre 1997 et 2012, il a été commandant suppléant, puis commandant de la police cantonale neuchâteloise à partir de 2005.